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Nouvelle série, nouveau thème, c'est parti!
Ces photos, que j'adore, m'ont déja posée quelques soucis (insultes, fermeture de compte AOL sans préavis, j'en passe et des meilleurs!)
Je tiens donc à rappeler qu'il s'agit ici de photos d'art uniquement, que je ne suis pas une terroriste sataniste (même si chacun fait ce qu'il veut, moi c'est pas mon truc, c'est tout!) Alors si vôtre surmoi vous titille de trop, je vous rappelle que la sortie n'est pas loin! ( cf: l'avertissement)
Pour tous ceux qui sont encore là, j'explique un peu ma démarche.
Cette série est partie d'un projet pour la fac d'art sur le corps et mouvement (la série de nu que j'avais faite précédement s'avérant trop licensieuse, il a fallu que je trouve autre chose, et vite!)
J'ai donc pensé un corps mi homme mi déité, au mouvement restrint et prisonnier de sa condition. Celui-ci passe donc par toutes les phases de la revolte de la supplication soumise à l'acte sanguinaire.
Etre étrange, unique et incongru, il laisse le desepoir l'envahir et l'anéantir lentement.
A vous maintenant de juger, d'apprécier et me dire ce que vous en penser, encore une fois, les commentaires inutiles et volontairement méchant, non constructif ... ne sont pas les bienvenus.
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Là où je chûs
Pousseront, résidus,
Rejetons d'une vie,
Des fleurs meurtries.
Là où à jamais,
Je reste cloîtrée,
Les vers viendront
Détruire mon corps,
Laminer ma chair,
Ronger ma peau.
Là où je chûs,
Je t'ai enfin revu
Toi, mon aimé,
Qui m'a si tôt quitté.
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J'ai cru, il y longtemps
J'ai aimé, il y a tant
Jai imaginé, autrefois
J'ai rêvé d'il était une fois
Mais les contes sont de mots
Et la vie n'est que maux
Le réel te rattrape
Jamais tu ne t'echappes
Les songes sont pour enfants
Adulte, on voit le sang
Le desespoir quotidien
Du bon citoyen
Pourtant, j'y ai cru
J'ai tout mis à nu
Le squelette d'une vie
Morne et sans envie.
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La lame, je l'ai affutée
Ton poing, je l'ai armé
Ton regard, je l'ai aiguisé
La vieille bléssure, je te l'ai montrée
Les yeux, je l'ai ai fermés
Et je t'ai dis de frapper.
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Humeur du jour: Caline.
Envie de bisous et de caresses, et comme là je suis seule chez moi, c'est mon nounours Bouriquet qui en profite. Hummfff frustration.
N'arrivant pas à m'endormir, hier j'ai revisionné un véritable chef-d'oeuvre du cinéma :Les yeux de Laura Mars, d'Irvin Kershner, avec Faye Dunaway et Tommy Lee Jones.
Synopsis: "Photographe de mode, Laura aime mettre en scène ses modèles dans des décors atypiques: fausses agressions, meurtres, viols... mais bientôt, ses simulacres deviennent réalité. A travers son objectif, Laura a la vision de meutres abominables, jusqu'au jour où elle entrevoit sa propre mort."
Véritable critique d'une société où sous couvert de mode, la perversion est célébré, tout en reniant sa réalité, et où la célébrité apporte un tel pouvoir que la plus horrible merde est reconnue comme merveille et modèle à suivre.
Ce film explore la dualité de l'homme, rejetant tout manichéisme, au travers deux êtres qui parfois n'en sont qu'un, le mal et le bien formant l'humain.
Excellent film à voir et à revoir.
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